Conformément aux directives de Léon, Karnak se dirigea à travers les forêts, les plaines, les clairières décimées sur le monde. Les deux compagnons, finirent par arriver à la frontière qui séparait le monde des géants. La différence de taille se faisait progressivement, les arbres, herbes et lacs s’agrandirent au fur et à mesure qu’ils avançaient.
Les herbes caressèrent bientôt les jambes de Kanak, elles devaient bien faire chacune, au moins, un pied.
Le soleil commençait à se coucher, teintant le ciel d’une lueur rougeâtre.
« Bon, mieux vaut ne pas continuer et en rester là pour aujourd’hui, il se fait tard et mes jambes commencent à me faire sentir leur mécontentement »
Léon opina du chef, et ils commencèrent à monter le camp. Karnak partit à la recherche de bout de bois pouvant servir à les réchauffer ne serait ce qu’un peu malgré la température glaciale qui marquait cette région gigantesque.
Le nain finit par revenir au camp provisoire qu’ils étaient en train de monter. Lé on avait creusait une fosse, il prit quelques brindilles des main de Karnak, les empila dans le fosse, sortit sa mèche d’amadou et ses silex. Une petite flamme orangé pris sur la mèche, il mit le feu aux brindilles, souffla dessus, faisant croitre les flammes et rajouta le restant de bois.
Karnak alla chercher une poêle, quelque lamelles de lardon et se mit à faire le repas. Le résultat fut assez désastreux, il avait trop fais chauffer la poêle, cramant légèrement les lardons.
Ils finirent par se coucher après une beuverie entre amis.
Leon se réveillat et vit Groque, ayant quelquechose dans la bouche.C'était un morceau de gros gibier dont le cadavre jonchait le sol à côté du squig.
Le halfling quittat sa forme de paresseux qu'il utilisait pour dormir et se précipitat sur la viande pour la faire griller au feu que karnak avait ranimé; prenant bien soin de laisser une part à son squig, qui était fier de lui, leon alla s'installer prés du nain.
"c'est génial la bouffe qu'on peut trouver ici !"
dit le halfling avant de reprendre la route.
Karnak suivait Léon à travers les plaines géantes du royaume, le vent fougueux carressant les hautes herbes. Ils traversèrent les plaines inhabitées d’un pas presque nonchalant, mais la main sur leurs armes tout de même.
Karnak crut percevoir un lac a travers ces plaines, ils avancèrent prudemment, parré à toute éventualité.
L’eau bleu reflété les rayons du soleil, lui donnant des couleurs merveilleuses. Puis il levèrent leurs têtes et virent une bande de loup enragés monté par des gobelins tout aussi sinon plus enragés que leurs montures.
« - Là, on a vraiment un problème, déclara Léon, on a deux choix, soit on fuit, soit on les attaques, dans tout les cas ils nous ont vu, mais si on veux fuir c’est maintenant et ce ne sera pas une partie de plaisir.
-Bon moi je pense que faut y allé, les attaquer je veux dire.
-Ils sont cinq, et cinq gobelins montant des loups enragés ce n’est pas super facile à tuer ou à leur faire prendre fuite.
-J’aimerais aussi savoir ce que font des gobelins, ici. »
"pourquoi j'ai dis ca moi?"
Se demandat le halfling
"je me suis gouré de réplique je pense"
En conclut-il avant de se jeter sur le gobelin de tête.
Il se jetat dessus et lui donnat un coup de batte qui le désarconnat; sa monture continuant avant de tomber sous la hache de karnak.Le gobelin se relvat incroyablement vite et se jetat sur léon, son sabre tenu entre ses deux mains.Ce dernier évitat le coup de justesse en se fendant vers la guauche; appercevant une fraction de seconde le nain qui tenait en respect deux chevaucheurs encore en selle.
Le petit homme joufflut donnat un coup de poing à son adversaire et c'est là qu'il vit les deux derniers peaux vertes charger.Il cria des avertissements à son ami avant de voir groque se saisir de la gorge de l'un des loup en charge avant de l'arracher; le squig s'approchat du propriétaire de l'animal et se jetat sur lui dans un bon magnifiquement mal ajusté qui le fit tomber sur le gobelin qui s'opposait à léon.
Pendant ce temps karnak avait réussis à en découdre avec ses deux adversaires et le dernier gobelin fut promptementmassacré ainsi que sa monture.
"je me demande ce qu'ils faisait las ces gobs"
lançat kanak à l'intention de léon qui félicitait le squig.
"sais pas...peut étre qu'ils se sont égarés"
C'est la qu'ils entendirent les pas d'une créature énorme
Un cri énorme, profond et horrible s’éleva au loin, puis des bruits de pas sourds atteignirent les oreilles des deux compagnons. La bête débarqua, elle était géante, près de dix pieds de hauts, deux défenses jaunes surmonté la partie inférieure de son mufle, ses yeux profondément enfoncés dans son visage, brillaient d’une couleur rouge, de la bave coulée le long de sa gueule béante, sa peau verte était couturée de cicatrices. Elle tenait dans sa main une massue incrustée de diverses lames.
-Oh, merde, encore la chance, s’exclama Karnak
-C’est quoi ça ? demanda l’halfing
-Chez nous, on appelle ça un Morg
Karnak chargea, sans réfléchir. La bête balança son bras vers le nain qui fonçait vers lui, et le fit voltiger quelque mètre plus loin. Karnak essaya de se relever, mais sous l’effort il s’écroula, une terrible douleur parcourait tout son corps le clouant inexorablement au sol.
"Espéce de saloperie!!!"
hurla léon en se jetant sur la bête, batte à la main.
Le génat se demandat comment un être aussi petit pouvait étre aussi bruyant mais ne s'en soucia gére quand il envoyat sa main se heurter contre le halfling.
Léon avait mordu dans la peau poisseuse de son ennemi et s'accrochat de toutes ses forces avant de glisser son arme sou l'ongle du doigt sur lequel il se trouvait et... chtak!
Le petit homme se sentit fier de lui quand il entamat la chair du mastodonte avec le couteau elfique qu'il avait pris chez ces derniers.
La bête hulat et secouat sa main; ce qui eut pour effet de jeter léon au sol, à côté de Karnak.
Le géant s'approchait d'eux et se préparait à les écraser lorsqu'il ressentit une vive douleur à la colonne vertébrale: un petit animal en forme de boule s'accrochait avec ses longues dents et les mains malhabiles et ensaglantés n'arrivaient pas à l'y déloger.
Finalement peut étre avaient'ils un chance se dit Léon qui, malgrés ses blessuresrejoint karnak afin de l'aider à se relever.
Le nain s’ébroua et commença à ouvrir les yeux, il aperçut Léon qui l’aidait à se relever, un espoir naquit au fin fond de l’esprit de Karnak, Léon avait-il tué le monstre ? Puis en réponse à sa question, un hurlement de douleur s’éleva, le géant courait et bougeait, cherchant à décrocher le squig qui était en train de lui dévorer le dos. Karnak se remit sur pied, la tête lui tournée, il sentit qu’i n’était pas loin de vomir trippes et boyaux.
Après s’être ressaisit, le nain serra ses haches, regarda le géant qui se tortillait d’un regard plein de haine et de vengeance.
-Il va me le payer, fit le nain
Les deux compagnons chargèrent, Karnak avançait malgré la terrible douleur qui lui parcourrait le bras droit. Lorsqu’ils arrivèrent sur le lieu de la bataille, ils virent que le géant avait réussi à décrocher le squig totalement fou. Alors le nain commença à se métamorphoser, il le fit à une vitesse remarquable et ne sentit presque pas cette sensation de fondre et de se restructurer. Puis le loup au pelage argenté fût là devant le géant, les babines retroussées, de ses yeux dorés il fixait le monstre, puis il fonça.
Léon ecarquillat les yeux quand il vit le loup se jeter sur le géant.
*c'est agile ces bêtes la!*
Puis il reportat son regard sur groque.Le malheureu squig était affalé au sol et était couvert de contusions.Malgrés cela il était encore vivant et léon allat anésthésier les plaies de son animal, les gelants justes assez pour anesthésier les plaies sans faire éclater la membranes des cellules.
Puis il allat accompagner son ami maintenant méthamorphosé.C'est à ce moment qu'il eut une idée géniale: il allait se métamorphoser en paresseux et faire diversion.
Il s'executat et la silhouette d'un animal d'une lenteur extréme apparut à la place de celle du halfling.
Le paresseux commencat à tourner autour du géant et la divertion fit effet.
Karnak se retourna, en réponse à l’inactivité du monstre, il regardait Léon qui venait de se transformer en paresseux. Le géant poussa un mugissement rauque et grave, puis il commença à rire, le bruit cassait les oreilles de Karnak, son rire devait s’entendre à des lieux à la ronde.
Puis profitant de cet instant d’inattention, karnak attaqua les garrots de la cheville droite du géant. Le rire du monstre, se transforma en cri de surprise, puis enfin en cri de douleur, le géant tomba à genoux, faisant trembler la terre alentour, puis se mit à pleurnicher et se prit la cheville entre les mains.
Pendant ce temps, le squig à l’esprit vengeur s’était relever et fixait le géant qui se tordait de douleur, puis il montra ses dents, poussa un cri aigu et couru. Duran sa course, il plia ses jambes et les retendit faisant un bon gigantesque, puis il planta ses dents dans la gorge du géant et lui arracha, peau et chair, tapissant le sol de sang rouge. Un dernier gargouillis marqua la bataille.
Léon se démétamorphosa et allat voir ses compagnons.
"Bon on le bouffe?"
Karnak le regardat comme s'il s'attendais à une question de ce genre de la part de son ami aprés une bataille acharnée.
Aprés le repas ils repartirent en vue d'une immense forêt ou ils auraient de quoi faire du feu mais un territoire gigantesque restait encore à parcourire et ils se mirent en marche, Groque gambadant joyeusement devant suivis des deux compagnons.
Ils passérent à côté de plusieurs dizaines de grottes et de trous abbandonnés et ornés de glyphes primitifs.
Tout se passa bien juqu'a ce que...
----La suite une autre fois, un peu trop long à faire.